Facilitateur Poétique
Pour présenter votre travail manuel, intellectuel ou artistique,
un projet, une association, enrichir une conférence,
conclure un séminaire de manière créative et en fédérant les participants...
Exemple
Quand froid disparait, seuls lits le restent
Sur photo, de la neige il en reste…
Mais on reste glacés de voir qu’elle est fabriquée
Quand lobbies et agents immobiliers ont la parole
Bâton de pèlerin avec dragonne, mais sans gants,
Pour informer et offrir aux locaux de se prononcer,
Quand ski est affaire de lointains privilégiés.
« Ménager nos territoires » quand ils font croire
Que « sans le ski, la montagne est finie »,
Quand à grande échelle, il vient la défigurer
Quand Neige éternelle semble menacée.
Quand froid disparait, seuls lits le restent
Modèle économique s’accrochant aux restes
Reste-t-on skieur quand manteau neigeux est un leurre ?
« Culture » et artifices, politiques portant des œillères
Comptant sur technologie pour Noël blanc
Quand sur mauvaise pente, piste est de ne rien faire
Quand sans fard, « comme avant » insulte hier
Chamonix en amont, Nice « capitale de la glisse »
Poudre aux yeux de Jeux olympiques, ailleurs refusés
Quand partie n’est pas gagnée à jouer tout seul,
Et quand les vouloir à tout prix sème doutes sur qui va gagner
Quand froid disparait, seuls lits le restent
Il n’en reste pas moins qu’à bien regarder,
Beaux restes protégés rendront à la montagne sa fierté
Po-éthique
Retrouvez dans le blog ou ci-après le résumé poétique de prises de parole
trans-partisanes en accord avec nos valeurs
"OUI A LA VIE"
Inspiré de différentes émissions interrogeant Mr Jean-Frédéric Poisson
et de l'interview de Mme Christine Boutin (Ligne droite. Mai 2025).
Il fut un temps où le droit encadrait le vivant.
Aujourd’hui, certains le résument à des lois
Qui main-tiennent endormis et valident l’euthanasie.
On ne sait pas, on ne veut plus accompagner la fin de vie…
Il fut un temps où la règle protégeait le petit.
Aujourd’hui, ce n’est pas la mort que l’on rend plus douce
Mais au profit d’économies et d’intérêt bien compris
Subrepticement, le droit de tuer que l’on ratifie.
Qui aime la vie sait bien que la mort sera toujours tragédie :
Pour celui qui part en souffrant, pour celui qui lui survit,
Mais comme les deux pans d’un même Réel,
On ne peut condamner la mort sans congédier la vie.
Si nouveau droit peut sensiblement apaiser peur de sa fin C’est lui qui demain dira « on s’arrête là », tirant/tyran rideau Sur handicapés, opposants, « déviants » et sur-numéraires, Alors que ce terme-là sera « naturel », c’est écrit dans la loi !
Epreuve sans soutien, solitude, coût d’un traitement
Là(s) encore, cela sera naturel, pour ne pas dire banal
De mettre fin à ses jours quand l’empêcher sera délit,
Quand société flirtant avec le mal, ne restera que la nuit !
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