
"Aide à Mourir" / Devoir Mourir Dignement
FOCUS TEXTE "Non à la Loi Falorni"
La souffrance congédiée, c’est le rêve de chacun
De là pour la supprimer, à supprimer quelqu’un !
Laissez la mort m’emporter quand seule à décider
Elle aura compté mes jours et préservé ma Liberté
- Le docteur Dellaporta fait une analogie édifiante : la suppression des sdf pour éradiquer la pauvreté...?!
- La liberté est l’argument phare. Par le passé, on a voulu imposer l'euthanasie pour le bien de la société. Aujourd'hui, le discours s'est déplacé renvoyant « le droit de mourir dans la dignité » à la liberté individuelle. Cf https://eclj.org/promoting-euthanasia?lng=fr
* Mais que deviendra la liberté du malade auquel sera proposé la sortie, tandis qu’il représentera un coût pour la société, un poids pour sa famille… ?
L'injonction implicite existe bel et bien, on la constate concernant les enfants atteints de la trisomie 21. Il n'y a aucune obligation d'avortement thérapeutique, mais 99% des grossesses concernées débouchent sur un avortement.
* Que devient la liberté de mourir en Paix, se laissant juste porter quand arrive la Fin ?
La normalité deviendra la mort assistée, encadrée par protocole technique et médicamenteux. Liberté alors que l’on pose cadre législatif ?! cf Chaîne Louis Fouché "entretiens mortels"
Oui, que l’on respecte jusqu’à mon souffle dernier
Oui, j’aspire que l’on m’aime comme aïeuls ont été veillés
Oui, j’aspire que l’on m’aide comme on accueille fragilité d’un enfant
Oui, j’aspire que l’on m’aime jusqu’au dernier moment
Le refrain commence par un "Oui". Qui dans une société sécularisée où la mort est taboue n'aurait pas envie qu'on l'aide à mourir ? Le vocabulaire est ici biaisé, puisqu'on ne parle pas d'accompagnement mais d'un geste/protocole conduisant lui-même à la mort, donc d'euthanasie ; pratique d'autant plus acceptée que, comme en technique de vente, elle est précédée d'un premier Oui...?!
Si seuls les plus forts doivent encore (en-corps) exister
Que société aide à vivre et que dernières forces soient respectées
Soins palliatifs ou euthanasie ne disant pas son nom
Dissonance cognitive pour empêcher les hommes de dire Non
- "Encore" en deux mots pour parler du corps, à la fois, surinvesti quand tout va bien (beauté, sport, tatouage) et prêt à être mis au rebus dans le cas contraire.
Comme le font ceux qui promeuvent l'euthanasie, le texte inverse ici le principe du darwinisme. Au lieu de condamner le faible, pourquoi ne pas proposer de s'appuyer sur les forces de chacun ?
- La grande majorité des malades souhaitent une aide à vivre, et l'aide à mourir, au sens d'accompagnement de la personne est d'ores-et-déjà, largement mise en place.
Oui, que l’on respecte jusqu’à mon souffle dernier
Oui, j’aspire que l’on m’aime comme aïeuls ont été veillés
Oui, j’aspire que l’on m’aide comme on accueille fragilité d’un enfant
Oui, j’aspire que l’on m’aime jusqu’au dernier moment
Aider/ Aimer. Le refrain veut aussi signifier qu’au-delà du thème de la mort, il s’agit de notre modèle sociétal de vivre ensemble. Si le passé est ici convié positivement avec allusion aux familles qui entouraient le mourant, on ne peut ignorer les affres du XXème s. et vers quels abimes l'euthanasie a conduit (Programme nazi Aktion T4/ handicapés, tziganes, juifs).
De la prévention du suicide au marché du départ assisté
Avec délit d’entrave pour celui qui cherche à aider
Mort de celui qui ne pourra plus payer pour être soigné
Obligé de vivre dignement une vie qu’on ne cesse d’étouffer
- En cette année 2025 où la santé mentale a été grande cause nationale, quid de la prévention du suicide, et plus largement à terme des soins psychiatriques ?
Eric Mercier, infirmier, se demande s'il faudra par exemple se résoudre à la disparition du bipolaire au creux de la vague ?!
- "Le marché du départ assisté" renvoie tant au suicide assisté qu'à l'acte d'euthanasie s'opposant tous deux à la mort naturelle, quant à elle déjà éradiquée en Belgique par exemple.
Oui, que l’on respecte jusqu’à mon souffle dernier
Oui, j’aspire que l’on m’aime comme aïeuls ont été veillés
Oui, j’aspire que l’on m’aide comme on accueille fragilité d’un enfant
Oui, j’aspire que l’on m’aime jusqu’au dernier moment
- L’allusion à l’enfance vient dire la fragilité, elle est aussi un clin d’œil à l’autre bout de la chaîne humaine, les mêmes défendant eugénisme et euthanasie
- Par ailleurs, la mort est-elle appelée à devenir, comme l'accouchement, largement médicalisée ?
Vie aseptisée et sans tâches mimant déjà morbidité,
Individu n’est plus personne, à force de technique et d’être isolé
Proposer fin de vie vient dire combien nous sommes lâches,
Malades d’un lien réduit à peau de chagrin qui ne sait prendre soin
-Contrairement à ce que l'on veut nous faire croire, la mort provoquée ne sera pas une mort douce pour ceux qui partiront.
- Peut-on faire l'impasse de la culpabilité pour famille et soignants ?
- Sans compter que l'entourage n'est toujours d'accord, et pas toujours bienveillant
(En Angleterre, pensions héritées en franchise d'impôt sur le revenu si la personne décède avant 75 ans)
Oui, j’aspire que l’on m’aide comme on accueille fragilité d’un enfant
Oui, j’aspire que l’on m’aime jusqu’au dernier moment
Oui, rejeter loi qui fait de l’homme un déchet
Dignité de mourir en homme et non comme un objet
- S'abandonner au protocole médical n'est-ce pas un peu se faire voler son départ ?
- cf "Obsolescence de l'être humain", business de la mort (cf paiement à l'acte, "suicide utile" pour greffes d'oraganes)
- Transhumanisme (homme machine, pur esprit transposé dans virtuel)
L'idéologie à l'assaut du genre ... Humain
Corps, Identité, Médecine, voilà trois mots qui devraient aller de pair...
Mais "corps sexué" et "identité genrée" ne paraissent plus forcément s'accorder, tandis qu'initiatrice d'un "genre nouveau", la science moderne semble "s'attaquer" au corps plutôt que soigner.
J'ai du respect pour les transexuels. De tous temps, ils ont fait avec leur différence, subissant indifférence ou rejet, même si certaines sociétés ont parfois su leur faire une place. Aujourd'hui, la médecine moderne leur offre la possibilté de changer de corps, du moins son apparence, pour être en cohérence avec leur identité profonde, et il n'y a rien à redire à cela.
Mais l'idéologie trans-genre a pris d'assaut le mal-être de notre société. Il ne s'agit plus de "restaurer" l'être humain dans sa véritable identité, mais de susciter un trouble du genre, de soi-disant changer de sexe ; plus de "corriger", mais d'inviter le plus grand nombre à s'inventer. Apogée de l'individualisme moderne et de la science se prenant pour Dieu.
Les trans-activistes, qui traitent les opposants de transphobes, se lavent les mains des souffrances engendrées par leur propagande qui vient cueillir les pré-adolescents en construction, manipuler
une jeunesse angoissée, qui ne croit plus en rien, et culpabiliser des parents "réacs" cherchant à
protéger leurs enfants...
Pourquoi le wokisme soulignant l'oppression des minorités, va-t-il de pair avec l'idéologie trans-genre,
s'il s'agit de vivre ensemble et de s'accepter avec nos différences ?! Le slogan "I'am what I'am" balayé par le fait de n'être plus rien - et surtout pas incarné - il est urgent de se "réveiller" !
A l'heure du transhumanisme, transition pour genre nouveau, demain mi-homme, mi-robot ?
Sous couvert de liberté, le nihilisme triomphant, quelle humanité pour demain ?
Euthanasie et idéologie du Genre
De la jeunesse à nos aînés, une même attaque en règle de la Vie ! Si celui qui souffre peut
"en avoir assez", demain, se battre pour pouvoir encore (en-corps) vivre... !
Tu me parles de Transition
Découvrez la 1ère chanson remettant en cause l'Idéologie Transgenre.
Propagande et déferlante de nouveaux mots défiant le Sens, si nous sommes tous en transition,
ne confondons pas le fait d'écarter la dualité et la non-binarité des activistes !
Les réseaux sociaux se déchaînent quand le premier des commandements est "Ecoute"...
A bon entendeur, le Salut. Transitionner ou Etre en transit vers le Royaume de Sion...
